Tout au long de l'histoire, les femmes afghanes ont constamment fait face à des obstacles significatifs dans la réalisation de leurs droits, principalement en raison de la structure traditionnelle et religieuse de la société, ainsi que du manque de soutien technique au sein du système judiciaire et légal de l'Afghanistan. Ces défis ont souvent conduit à des persécutions injustes, des condamnations et des peines lourdes, y compris la peine de mort. De plus, en Afghanistan, les cas de violence et d'exploitation sexuelles, pour les raisons mentionnées ci-dessus, restaient fréquemment non signalés ou étaient traités par des tribunaux arbitraires, entraînant la condamnation des femmes à des peines lourdes, y compris la mort.

Cependant, ces dernières années, l'intervention internationale et la présence d'organisations humanitaires, ainsi que des amendements positifs à la constitution et au système juridique de l'Afghanistan, notamment l'adoption de lois et de conventions protégeant les droits humains et les droits des femmes, avaient conduit à certaines améliorations.

Tragiquement, avec la seconde invasion des Talibans en 2021, le système juridique naissant de l'Afghanistan a de nouveau subi des dommages irréparables, et les crimes et incidents de violence sexuelle et de viol ont augmenté, souvent avec des auteurs parmi les personnes au pouvoir. Aujourd'hui, les femmes afghanes se voient non seulement refuser les droits humains fondamentaux, mais elles sont également détenues pour des raisons ambiguës ou pour avoir tenté de faire valoir leurs droits.

Dans les prisons talibanes, les femmes subissent des violences physiques, verbales et sexuelles. L'atmosphère oppressive et omniprésente sous le régime taliban empêche ces crimes d'être signalés. Selon un rapport du Département d'État des États-Unis, parmi les 90 femmes emprisonnées à Jawzjan, Faryab et Samangan, 16 seraient tombées enceintes en raison de viols répétés et ont été forcées de subir des avortements dans des hôpitaux locaux. Les talibans auraient ordonné que ces avortements soient pratiqués au cours des troisième et cinquième mois de grossesse. Au moins quatre détenues à Samangan sont tombées gravement malades à la suite de viols répétés par des membres des talibans et ont finalement été exécutées par les talibans.

Comment ce film sera-t-il produit avec ce petit budget ? 

Le montant total du budget du film n'est pas ce pour quoi nous faisons du crowdfunding ; nous avons déjà contribué 30 000 euros nous-mêmes ; cependant, nous avons encore besoin de 30 000 euros supplémentaires pour donner vie à ce projet. L'équipe et le casting afghans vont donner de leur temps bénévolement ; cependant, ils recevront une indemnité journalière, ainsi que la couverture de leurs frais de transport, de repas et d'hébergement, car beaucoup d'entre eux se déplaceront d'autres villes de France et de pays voisins. Compte tenu du style du film, nous aurons moins de jours de tournage, ce qui se traduit par des coûts inférieurs. Le film se composera de 12 séquences-plans, chaque séquence représentant un mois de l'histoire.

Notre objectif en demandant des fonds :

Votre soutien contribuera directement à ces aspects essentiels du film, nous permettant de partager cette histoire puissante avec le monde.

L'équipe de production a déjà investi environ 30 000 euros dans le projet de film. Cependant, pour donner vie à ce projet, nous avons encore besoin de 30 000 euros supplémentaires, qui seront exclusivement alloués aux coûts directs du projet, y compris l'équipement, les costumes et décors, la logistique, la post-production et la diffusion .

La date limite pour collecter les dons ?

Le tournage du film est prévu pour la mi-juillet 2024, sur une période de 12 à 14 jours. Nous visons à collecter tous les fonds d'ici la fin juin 2024 pour avoir suffisamment de temps pour finaliser la planification.

Veuillez nous contacter si vous avez besoin de plus de détails sur le budget et d'autres parties du projet.

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